Engagement et Gestion Durable

Securidoc intègre l’écologie dans sa stratégie d’entreprise.

Si le zéro papier était jusqu’en 1995 une noble théorie issue des avancées informatiques, la consommation quotidienne mondiale concernant le seul papier bureautique laser pourrait et devrait dépasser d’ici 2020, dix milliards de feuilles, (soit environ 54.000 tonnes par jour de déchets potentiels) contre un milliard lorsque l’idée fut abandonnée, réputée depuis irréaliste.

En dehors de la gestion primordiale des exploitations forestières, la fabrication des papiers à usage de lecture et d’écriture génère les plus importants transmetteurs de pollution de notre industrie, de par les traitements, principalement pour obtenir un blanchiment optimal.

Certains agents peu ou pas biodégradables, comme ceux de la famille des azurants optiques, font depuis peu l’objet d’études scientifiques sur leurs véritables impacts sur l’environnement, sachant qu’ils sont déjà fortement présents dans la plupart des milieux sols et aquatiques.

Tous les papiers provenant de nos fabrications sont certifiés par le « Forest Stewardship Council » (FSC) qui vérifie que nos fibres et pâtes à papier proviennent d’exploitations forestières, privées ou d’état, respectant les critères écologiques les plus exigeants, et par le « Program for Endorsement of Forest Certification shemes », (PEFC) qui contrôle si des régions ou un pays respectent les exigences définies à Helsinki en 1993.


Une faible partie des papiers bureautiques consommés obtiennent cette double certification. Si ce maillage de précautions parait suffisant, Sécuridoc s’emploie à s’inscrire dans la recherche pour les normes d’avenir, en excluant également le bois et les traitements trop polluants ou consommateurs d’énergie dans la fabrication de ses papiers.

  • Le bambou n’est pas un arbre mais un roseau qui produit 35% d’oxygène de plus.
  • Les fibres d’eucalyptus et de bambou sont longues et plus blanches que celles du bois : moins de traitements pour la transformation papetière.
  • Le bambou produit 6 fois plus de cellulose que les espèces de pins à croissance rapide

Nous n’utilisons que des fibres et des pâtes à papier provenant principalement d’exploitations de bambous dans des régions ayant des climats favorables, le Brésil notamment, en allant constater sur place régulièrement les réels bénéfices écologiques et favoriser au mieux toutes les recherches pour l’environnement. Elles sont ensuite transformées à la papeterie  française Clairefontaine dans les Vosges avant de devenir du papier sécurisé dans notre usine de Saint Thibault des Vignes, qui bénéficie du label Imprim’Vert depuis 2006, garantissant par exemple l’utilisation d’encres 100% végétales, en remplacement des encres d’imprimerie minérales traditionnelles, à base d’hydrocarbures pétroliers à point d’ébullition élevé.